Les recettes du Père Labat # 5 L’art de confire les fruits : sirop, confiture, marmelade, gelée…

tanlistwa, planche, fruits confits, compotes, confitures

Aujourd'hui, je vous invite à un peu de douceurs sucrées : les fruits consommés en confitures, marmelade, gelée...  dans la Caraïbe du temps du père Labat.

Père Labat Recipes # 4 Drinking With And Without Alcohol In The Caribbean

tanlistwa, extrait d'une estampe intitulé "Negro-Lant"

Today, I propose to you to be looking at drinking with alcoholic and non-alcoholic drinks consumed in the Caribbean at the time of Father Labat. On the program: Sang-gris, Salibott, Ponche, Ouicou, Grappe...

Les recettes du Père Labat # 4 Boire avec et sans alcool aux Antilles

tanlistwa, extrait d'une estampe intitulé "Negro-Lant"

Aujourd'hui, je vous propose de s'intéresser au boire avec des boissons alcoolisées et non alcoolisées consommées dans la Caraïbe du temps du père Labat. Au programme : Sang-gris, Salibott, Ponche, Ouicou, Grappe...

Une saison en Guyane : Archéologie

tanlistwa, couverture de revue, une saison en Guyane, 2021

Temps de lecture : moins de 4 minutes.–> Reading the English version of this post  (coming soon)     Ce mois d'août 2021 rime avec confinement strict pour la Martinique, mes voyages se font donc calée entre les coussins d'un canapé au gré des lectures. J'ai eu le plaisir de découvrir une autre humanité sur … Continuer la lecture de Une saison en Guyane : Archéologie

Les recettes du Père Labat # 3 La pimentade (sauce-chien)

tanlistwa, piment, pimentade, sauce-chien

Aujourd'hui, je vous propose de voir la pimentade, dont l'héritière est un classique de nos assaisonnements dans les Antilles, aujourd’hui appelée sauce-chien.

Les recettes du Père Labat # 1 les aliments et le jeûne

tanlistwa, Menu de maigre et ustensiles de cuisine par Jean Siméon Chardin, 1731, peinture à l'huile

Aujourd'hui, puisque nous sommes en plein carême, je vous propose paradoxalement — Labat étant plutôt un adorateur de la bonne bouffe — de démarrer cette série sur la question du jeûne. Au menu :  lamantin, iguane, diable des mers, café, thé et chocolat.

Le préjugé de couleur à la française #5/6 son expression juridique (c)

tanlistwa, peinture, portrait d'une femme noire de côté, portant une chemise blanche à bouton fermé au cou par une broche sombre, elle porte une coiffe de tissus

Aujourd'hui je poursuis l'étude du préjugé de couleur avec les mesures cherchant à contrôler le développement du groupe des Libres de couleur et celles qui les ségréguaient et les discriminaient.

Le préjugé de couleur à la française #4/6 Son expression juridique (b)

tanlistwa, peinture,en forme de médaillon, portrait de trois-quart d'un jeune homme noir portant une boucle d'oreille en or

Aujourd'hui, je vais vous parler des différentes mesures prises à l'encontre des personnes libres de couleur qui les contraignaient dans leur vie quotidienne.

Le préjugé de couleur à la française #3/6 Son expression juridique (a)

tanlistwa, extrait d'une peinture montrant le portrait d'une femme noire, de face, regardant le peintre, elle est coiffée d'un madras, porte des boucles d'oreille ronde rouge, elle a une chemise blanche

Aujourd'hui, je voudrais parler de la construction du préjugé de couleur sur le plan juridique, en m'attardant sur l'émergence des libres de couleur en tant que groupe juridique et en contextualisant l'expression juridique du préjugé par rapport à la société d'ordre du royaume de France.

Le préjugé de couleur à la française #2/6 L’image stéréotypée des Noirs

tanlistwa, peinture sur fond sombre représentant un jeune garçon noir de face, visage rond et jonflue, regardant vers le peintre, il porte une chemise claire simple, surmontée d'une étoffe sombre, il semble sourire légèrement

Aujourd'hui, je vous parle de l'image du Noir, car elle a nourri non seulement des attitudes sociales, mais aussi des décisions législatives, constitutives du préjugé de couleur, au plus haut de l’État.

L’Hôpital militaire de Fort-de-France #3/3 Des esclaves au service des malades (b)

Tanlista, photographie en noir et blanc représentant sur 3 rangées des infirmiers et infirmières noires posant contre un mur, premier rang assis au sol, le second sur un banc, le dernier debout. Ils portent un uniformes blancs, robes pour les femmes, parfois surmonté d'un tablier sombre

Aujourd'hui, je vous parle des apothicaires, aides-chirurgiens et infirmiers esclaves qui contribuaient aux soins des malades de l’hôpital de Fort-Royal, une activité paramédicale peu banale dans la société coloniale et esclavagiste du XVIIIe siècle.