100 mots pour une vie : portrait de Vayaboury, mon ancêtre venu d'Inde.
Vayaboury (v. 1839-18..)

100 mots pour une vie : portrait de Vayaboury, mon ancêtre venu d'Inde.
Aujourd'hui, je vous propose des extraits d'archives qui m'ont marquée, comme des regards témoignant de la vie des personnes libres de couleur et du poids du préjugé de couleur pour elles.
Aujourd'hui je poursuis l'étude du préjugé de couleur avec les mesures cherchant à contrôler le développement du groupe des Libres de couleur et celles qui les ségréguaient et les discriminaient.
Aujourd'hui, je vais vous parler des différentes mesures prises à l'encontre des personnes libres de couleur qui les contraignaient dans leur vie quotidienne.
Aujourd'hui, je voudrais parler de la construction du préjugé de couleur sur le plan juridique, en m'attardant sur l'émergence des libres de couleur en tant que groupe juridique et en contextualisant l'expression juridique du préjugé par rapport à la société d'ordre du royaume de France.
Aujourd'hui, je vous parle de l'image du Noir, car elle a nourri non seulement des attitudes sociales, mais aussi des décisions législatives, constitutives du préjugé de couleur, au plus haut de l’État.
Aujourd'hui, premier épisode d'une série sur le préjugé de couleur ; j'y explicite le concept de système raciste.
Aujourd'hui, je vous parle brièvement d’une forge de la ville de Fort-de-France, dans les années 1830 et des hommes forgerons réduits au statut d'esclave citadins qui y travaillaient.
Aujourd'hui, je vous parle des apothicaires, aides-chirurgiens et infirmiers esclaves qui contribuaient aux soins des malades de l’hôpital de Fort-Royal, une activité paramédicale peu banale dans la société coloniale et esclavagiste du XVIIIe siècle.
Aujourd'hui, je poursuis l'histoire de l'hôpital de Fort-Royal et je vous parle en détail des hommes et des femmes, esclaves, au service des malades à la fin du XVIIIe siècle.
Aujourd'hui, je vous parle de l’hôpital militaire de Fort-de-France, de son projet à la fin du XVIIe siècle et de sa laborieuse construction au XVIIIe siècle.
Aujourd'hui, je vous parle B.D. et singulièrement d'une pépite : Péyi an nou, qui retrace l'histoire du Bumidom et du déplacement de milliers d'Antillais vers la France hexagonale entre 1963 et 1982.
Aujourd'hui, je vous parle du préjugé de couleur juridique, mais surtout de sa suppression ; car avec elle, c'est mon sujet d'étude qui disparaît des sources officielles !
Aujourd'hui, je vous parle de Béhanzin, roi du Dahomey, qui vécu en exil forcé à Fort-de-France en Martinique pendant 12 ans.
Aujourd'hui, je vous parle de Béhanzin, roi du Dahomey, si craint, qu'on l'exila à Fort-de-France en Martinique pendant 12 ans.
Aujourd'hui, je vous parle des mots chabin, chabine qui, dans notre vocabulaire aux Antilles, fait référence à une personne claire de peau, mais dont les traits phénotypiques rappellent une personne noire.
L'exposition Liens caribéens, peuples connectés hier et aujourd’hui circule dans la Caraïbe et est à découvrir à la Martinique en ce moment.
Les JEP2019 ont été l'occasion de découvrir le bassin de radoub de Fort-de-France, lieu d'accueil essentiel pour la construction, l'entretien et la réparation des navires, il est désormais classé monument historique.
Aujourd'hui, je partage la liste des différents numéros de la revue "Cahiers du Patrimoine" de Martinique.
En juillet, je me suis focalisée sur un territoire : la Guyane pendant la Révolution française.
En juillet, Manioc a mis en ligne une nouvelle base de données "Esclavage en Martinique"...
Une fois n'est pas coutume, je vous parle des coulisses du métier et d’un projet ambitieux de Manioc.org qui m'a beaucoup tenu à cœur : une base de données "Esclavage en Martinique".
Une lecture du registre matricule des esclaves par la tradition ancestrale africaine... un livre pour reconstituer une généalogie avec des ancêtres esclaves et reconstruire le lien avec l'Afrique.
Deux sources différentes qui évoquaient une même femme de couleur à Cayenne ? C'était suffisant pour que je me demande qui était donc cette femme charitable qui avait marqué ces hommes. Aujourd'hui, je vous dresse la suite du portrait de Marie-Rose ou l'ascension sociale d'une femme de couleur en Guyane au XVIIIe siècle.