Le préjugé de couleur à la française #5/6 son expression juridique (c)

tanlistwa, peinture, portrait d'une femme noire de côté, portant une chemise blanche à bouton fermé au cou par une broche sombre, elle porte une coiffe de tissus

Aujourd'hui je poursuis l'étude du préjugé de couleur avec les mesures cherchant à contrôler le développement du groupe des Libres de couleur et celles qui les ségréguaient et les discriminaient.

French Prejudice of Colour #4/6 Its Legal Expression (b)

tanlistwa, peinture,en forme de médaillon, portrait de trois-quart d'un jeune homme noir portant une boucle d'oreille en or

Today, I'm going to talk to you about the various measures taken against free people of colour who coerced them in their daily lives.

Le préjugé de couleur à la française #4/6 Son expression juridique (b)

tanlistwa, peinture,en forme de médaillon, portrait de trois-quart d'un jeune homme noir portant une boucle d'oreille en or

Aujourd'hui, je vais vous parler des différentes mesures prises à l'encontre des personnes libres de couleur qui les contraignaient dans leur vie quotidienne.

French Prejudice of Colour #3/6 Its Legal Expression (a)

tanlistwa, extrait d'une peinture montrant le portrait d'une femme noire, de face, regardant le peintre, elle est coiffée d'un madras, porte des boucles d'oreille ronde rouge, elle a une chemise blanche

Today, I would like to talk about the construction of the prejudice of colour from a legal point of view, by focusing on the emergence of the free people of colour as a legal group and by contextualizing the legal expression of the prejudice in relation to the society of order in the Kingdom of France.

Le préjugé de couleur à la française #3/6 Son expression juridique (a)

tanlistwa, extrait d'une peinture montrant le portrait d'une femme noire, de face, regardant le peintre, elle est coiffée d'un madras, porte des boucles d'oreille ronde rouge, elle a une chemise blanche

Aujourd'hui, je voudrais parler de la construction du préjugé de couleur sur le plan juridique, en m'attardant sur l'émergence des libres de couleur en tant que groupe juridique et en contextualisant l'expression juridique du préjugé par rapport à la société d'ordre du royaume de France.

French Prejudice of Colour #2/6 The Stereotypical Image of Blacks

tanlistwa, peinture sur fond sombre représentant un jeune garçon noir de face, visage rond et jonflue, regardant vers le peintre, il porte une chemise claire simple, surmontée d'une étoffe sombre, il semble sourire légèrement

Today I am talking about the image of the Black man, because it has fed not only social attitudes, but also legislative decisions, constituting colour prejudice, at the highest levels of the state.

Le préjugé de couleur à la française #2/6 L’image stéréotypée des Noirs

tanlistwa, peinture sur fond sombre représentant un jeune garçon noir de face, visage rond et jonflue, regardant vers le peintre, il porte une chemise claire simple, surmontée d'une étoffe sombre, il semble sourire légèrement

Aujourd'hui, je vous parle de l'image du Noir, car elle a nourri non seulement des attitudes sociales, mais aussi des décisions législatives, constitutives du préjugé de couleur, au plus haut de l’État.

The Military Hospital of Fort-de-France #3/3 Enslaveds to Serve the Sick (b)

Tanlista, photographie en noir et blanc représentant sur 3 rangées des infirmiers et infirmières noires posant contre un mur, premier rang assis au sol, le second sur un banc, le dernier debout. Ils portent un uniformes blancs, robes pour les femmes, parfois surmonté d'un tablier sombre

Today, I am talking about the enslaved apothecaries, assistant surgeons and nurses who helped care for the sick at the Fort-Royal hospital, a paramedical activity that was not very common in the colonial and slave-owning society of the 18th century.

L’Hôpital militaire de Fort-de-France #3/3 Des esclaves au service des malades (b)

Tanlista, photographie en noir et blanc représentant sur 3 rangées des infirmiers et infirmières noires posant contre un mur, premier rang assis au sol, le second sur un banc, le dernier debout. Ils portent un uniformes blancs, robes pour les femmes, parfois surmonté d'un tablier sombre

Aujourd'hui, je vous parle des apothicaires, aides-chirurgiens et infirmiers esclaves qui contribuaient aux soins des malades de l’hôpital de Fort-Royal, une activité paramédicale peu banale dans la société coloniale et esclavagiste du XVIIIe siècle.

The Military Hospital of Fort-de-France #2/3 Enslaveds to Serve the Sick (a)

Tanlistwa, gravure représentant des blanchisseuses ou Lavandièresau bord d'une rivière, l'une rince son linge dans la rivière, une autre le frotte au bord de la rivière, une troisième l'étend à sécher dans un arbre, à côté un panier de vannerie contient du linge, un homme ou garçon qui semble être nu est debout dans la rivière de l'eau au niveau des cheville, il tient un baton et porte un chapeau

Today, I will continue the history of the Fort-Royal Hospital and tell you in detail about the men and women, enslaved, who served the sick at the end of the 18th century.

L’Hôpital militaire de Fort-de-France #2/3 Des esclaves au service des malades (a)

Tanlistwa, gravure représentant des blanchisseuses ou Lavandièresau bord d'une rivière, l'une rince son linge dans la rivière, une autre le frotte au bord de la rivière, une troisième l'étend à sécher dans un arbre, à côté un panier de vannerie contient du linge, un homme ou garçon qui semble être nu est debout dans la rivière de l'eau au niveau des cheville, il tient un baton et porte un chapeau

Aujourd'hui, je poursuis l'histoire de l'hôpital de Fort-Royal et je vous parle en détail des hommes et des femmes, esclaves, au service des malades à la fin du XVIIIe siècle.

Bumidom Story : Péyi an nou of Jessica Oublié and Marie-Ange Rousseau

Tanlistwa, couverture de la bande dessiné, Péyi an nou, représentant une plage des Antilles avec des traces de pas, la mer bleue lisse et en fond comme émergeant à l'horizon de la brume telle une île lointaine la ville de Paris en gris symbolisé par la tour Eiffel et l'arc de triomphe.

today, I'm talking to you about comics and French nugget: Péyi an nou, which tells the story of Bumidom and the movement of thousands of French Caribbean people to hexagonal France between 1963 and 1982..

L’histoire du Bumidom : Péyi an nou de Jessica Oublié et Marie-Ange Rousseau

Tanlistwa, couverture de la bande dessiné, Péyi an nou, représentant une plage des Antilles avec des traces de pas, la mer bleue lisse et en fond comme émergeant à l'horizon de la brume telle une île lointaine la ville de Paris en gris symbolisé par la tour Eiffel et l'arc de triomphe.

Aujourd'hui, je vous parle B.D. et singulièrement d'une pépite : Péyi an nou, qui retrace l'histoire du Bumidom et du déplacement de milliers d'Antillais vers la France hexagonale entre 1963 et 1982.

The repeal of the prejudice of colour in the 1830s

tanlistwa, à gauche il y a un détail de la peinture la famille métisse de Le Mazurier, à droite une page d'u journal officiel déclarant l'abrogation du préjugé de couleur.

Today, I talk to you about the legal prejudice of colour, but above all about its removal; because with it, it is my subject of study that disappears from official documents!

L’abrogation du préjugé de couleur dans les années 1830

tanlistwa, à gauche il y a un détail de la peinture la famille métisse de Le Mazurier, à droite une page d'u journal officiel déclarant l'abrogation du préjugé de couleur.

Aujourd'hui, je vous parle du préjugé de couleur juridique, mais surtout de sa suppression ; car avec elle, c'est mon sujet d'étude qui disparaît des sources officielles !

Béhanzin, roi du Dahomey : 12 ans d’exil forcé à la Martinique #2/2 De la Villa Les Bosquets à Blida

tanlista, extrait d'une carte postale en noir et banc de Béhanzin en tenue officielle (drapé d'un grand tissus, pipe longue et coiffe couvrant les oreilles, installé sous un parapluie cérémoniel) entourée de deux épouses. Ils sont sous la véranda de la villa les bosquets.

Aujourd'hui, je vous parle de Béhanzin, roi du Dahomey, qui vécu en exil forcé à Fort-de-France en Martinique pendant 12 ans.